Le défi écologique de notre siècle valorise les notions de recyclage et de réutilisation. En effet, les particuliers, l’administration, le secteur primaire, les usines et les entreprises commerciales sont tous concernés par ces notions. Dans l’univers de l’industrie automobile, ces dernières permettent de joindre l’utile à l’agréable. En effet, un véhicule vintage restauré gagne en puissance et en originalité. Ce processus passe nécessairement par les étapes suivantes.

Étape 1 : La révision du moteur

Quels que soient la marque et l’âge d’un véhicule, sa bonne marche varie en fonction de l’état de son moteur. C’est la raison pour laquelle la révision du moteur constitue une étape primordiale lorsque qu’on souhaite donner vie à un projet de restauration d’un véhicule ancien. Ici, l’objectif est de déterminer s’il faut l’entretenir, le rénover ou le remplacer. Avant tout, il est important de tenir compte du fait que les moteurs vintages bénéficient d’une certaine originalité et d’une conception minutieuse. Ce sont les raisons pour lesquelles ils sont plus performants que les dernières versions. Par conséquent, remplacer le moteur ne constitue pas une obligation en matière de restauration d’un véhicule ancien.

Étape 2 : La mécanique automobile

Lorsqu’un véhicule est laissé hors d’usage durant de nombreuses années, cela affecte nécessairement la mécanique automobile et donne lieu à des dysfonctionnements non négligeables de la majorité des éléments contribuant à sa bonne marche. C’est la raison pour laquelle la vérification de la mécanique automobile doit nécessairement faire suite à la révision du moteur. Les éléments essentiels à vérifier, à réparer ou à remplacer sont :

Bref, la vérification et la rénovation de la mécanique automobile sont indispensables pour une restauration réussie d’un véhicule vintage.

Étape 3 : Les mécanismes

Étant donné que l’ancien véhicule est actuellement fonctionnel, il est important d’optimiser son confort de marche afin de veiller au bien-être du conducteur et des passagers. Dans cette optique, il est impératif de procéder au contrôle des systèmes suivants :

  • Le verrouillage des portières et de la malle ;
  • Les différentes serrures ;
  • Le mécanisme d’ouverture des vitres ;
  • Les essuie-glaces.

Contrairement aux idées reçues, un véhicule non utilisé présente plusieurs dégâts matériels, notamment sur le plan mécanique. En général, suite à un tel contrôle technique, un véhicule laissé hors d’usage depuis plus de 2 ans présente 80 % de défauts de mécanisme.

Étape 4 : La carrosserie

En principe, un véhicule ancien est souvent rouillé suite aux effets de la corrosion. L’étape finale de la restauration d’un véhicule vintage concerne donc la rénovation de la partie extérieure du véhicule afin de ressortir sa beauté. Par conséquent, il faut penser à repeindre ou à remplacer tous les éléments métalliques ou ceux en plastique.

Concernant la rénovation de la carrosserie, le mot d’ordre est la personnalisation du véhicule en fonction des inspirations du propriétaire. La réussite de cette étape est conditionnée par l’expérience et le savoir-faire du spécialiste du relooking automobile. Selon le cas, il est même possible qu’un véhicule vintage ait l’aspect d’un SUV. Nombreux sont également ceux qui choisissent de conserver la carrosserie d’origine.

Étape 5 : Les derniers détails

Cette dernière étape réside dans la mise en valeur de l’esthétique de la partie intérieure du véhicule. Pour des raisons de sécurité et d’hygiène, il serait judicieux d’opter pour un remplacement, et non pour un nettoyage ou un simple entretien des éléments suivants :

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